Le Festival International du Film de Morelia (FICM) est un point de rencontre unique au Mexique entre les réalisateurs mexicains, le public et la communauté internationale du cinéma.
Comme chaque année depuis 2005, le Festival est invité à présenter une séance de courts métrages, hors compétition, à la Semaine de la Critique de Cannes.
Lors de cette séance, quatre courts métrages mexicains sélectionnés lors de la 22ème édition seront projetés. Nous vous invitons à les découvrir ici à Paris, au Christine Cinéma Club, le 24 mai prochain!

AGUACUARIO
de José Eduardo Castilla Ponce
(Mexique, 2024, 20 min)
Production : PERSIGNADOS FILMS (José Eduardo Castilla Ponce)
Sous le soleil brûlant d’un port isolé de Veracruz au Mexique, un garçon de 10 ans, qui travaille aux côtés de son grand frère à livrer de l’eau sur un vieux tricycle, croise le chemin d’une fille de son âge. Il se trouve alors face à un dilemme: remplir ses responsabilités ou désobéir à son frère et se lancer dans une aventure à trois roues.

BUSCANDO UN BURRO – OJO du Meilleur court métrage documentaire mexicain au 22e FICM
de Juan Vicente Manrique
(Mexique/Venezuela, 2024, 17 min)
Production : FUNCIÓN CINE (Juan Vicente Manrique)
Dans une petite ville des Andes vénézuéliennes, deux pompiers filment un âne comme s’il s’agissait du président du Vénézuéla en visite dans leur caserne délabrée. Le jour même, les pompiers sont envoyés en prison, quant à l’âne, on ne sait pas trop ce qu’il est devenu.

SER SEMILLA
de Julia Granillo Tostado
(Mexique, 2024, 6 min)
Production : Julia Granillo Tostado
Un groupe de femmes luttent contre la violence qui s’empare de leur ville. Des femmes disparaissent.

SPIRITUM – OJO du Meilleur court métrage de fiction mexicain au 22e FICM
de Adolfo Margulis
(Mexique, 2024, 24 min)
Production : CENTRO DE CAPACITACIÓN CINEMATOGRÁFICA (César Ortiz)
Ramiro, jeune toxicomane, est admis dans un centre de désintoxication. S’il garde d’abord ses distances avec les autres, les échanges et les paroles des autres patients le confrontent petit à petit à sa propre réalité.